ARRACHEUSE ALIGNEUSE DE POMMES DE TERRE PRIGENT
Arracheuse aligneuse Prigent
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Essai arracheuse-aligneuse de pommes de terre PRIGENT Frères Pouldreuzic
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Articles de presse
Patrimoine. Un nouvel élan de l'association
Sur fond de démolition à venir de l'espace Guichaoua, la question du devenir des collections patrimoniales de l'association
stockées là-bas était au coeur des débats.
L'assemblée générale de l'association Patrimoine était attendue.
Sur fond de démolition à venir de l'espace Guichaoua, la question du devenir des collections patrimoniales de l'association stockées là-bas était au coeur des débats.
Une question qui visiblement interpelle, puisque plus de cinquante personnes (inédit) se sont retrouvées salle P.-J.-Hélias vendredi soir.
Dès les années 90, des Pouldreuzicois avaient remis à l'association anciennes machines et outils témoignant du passé agricole de la commune.
En 2002, cette collection a trouvé place dans 900 m² de hangars espace Guichaoua.
L'espace Guichaoua va être acquis par la commune, les hangars démolis et le site dépollué et désamianté : quid donc du devenir de ces machines entreposées là ?
C'est le souci n° 1 de l'association, qui aurait besoin d'un minimum de 500 m², pour ses collections.
La nouvelle équipe municipale a rencontré l'association en début du mandat, puis a envoyé un courrier le 30 mai et le 28 juillet proposant « un toit (dans le quartier de la gare) pour sauvegarder la collection en attendant de trouver un nouvel élan ».
« Des courriers restés sans réponse », a précisé le maire Philippe Ronarc'h.
Il a souligné qu'en aucun cas, la mairie n'entendait se substituer à l'association, qu'aucune municipalisation du musée n'était envisagée.
Centrage sur Pouldreuzic L'association a démarré sa réflexion, elle souhaite se concentrer sur les machines et outils qui ont servi ou ont été fabriqués sur Pouldreuzic et dans les petits commerces.
Il faudra, pour cela, faire un inventaire exhaustif et se débarrasser des doublons. Jean-Jacques Hénaff, présent à la réunion, a noté qu'il était primordial de « garder cette mémoire des métiers de la terre et des petits artisanats ».
L'association envisage d'entreposer son matériel sous des tunnels bâchés, la mise en cartons est programmée.
Finalement, ce déménagement pourrait apporter un nouveau souffle à l'association avec ce projet à définir.
Réunion prochaine avec la mairie.
Le conseil d'administration de l'association Patrimoine va se retrouver pour élire son bureau dans quelques jours et ensuite prendra « rendez-vous avec la mairie pour voir les possibilités de rangements de notre collection », a programmé Marguerite Ansquer, la présidente.
Il s'agit de trouver une solution de sauvetage dans un premier temps, tout en laissant le matériel visible, pour ensuite aller vers une solution pérenne.
© Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/finistere/pouldreuzic/patrimoine-un-nouvel-elan-de-l-association-
© Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/finistere/pouldreuzic/patrimoine-un-nouvel-elan-de-l-association-
02-03-2015-10542876.php
Fête. Patrimoine et musique de concert
Demain, patrimoine et musique vont se conjuguer pour une Fête de la musique originale, préparée conjointement entre mairie et association Patrimoine. Dès 17 h, à l'espace Guichaoua démonstrations de travaux agricoles autour du foin. L'association Patrimoine va sortir sa motofaucheuse, sa rotofanneuse et sa presse pour couper, remuer et botteler le foin : un air d'autrefois indéniable.
http://www.letelegramme.fr
Demain, patrimoine et musique vont se conjuguer pour une Fête de la musique originale, préparée conjointement entre mairie et association Patrimoine. Dès 17 h, à l'espace Guichaoua démonstrations de travaux agricoles autour du foin. L'association Patrimoine va sortir sa motofaucheuse, sa rotofanneuse et sa presse pour couper, remuer et botteler le foin : un air d'autrefois indéniable.
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Musique et patrimoine ont étéà la fête, samedi
La soirée fut belle, samedi, avec la double fête proposée par la mairie et l'Association du patrimoine. À l'espace Guichaoua, les riffs rock du groupe Amarok se sont mêlés aux premiers toussotements, après 400 heures de restauration effectuées par l'Association du patrimoine, du moteur Duvant.
http://www.ouest-france.fr
La soirée fut belle, samedi, avec la double fête proposée par la mairie et l'Association du patrimoine. À l'espace Guichaoua, les riffs rock du groupe Amarok se sont mêlés aux premiers toussotements, après 400 heures de restauration effectuées par l'Association du patrimoine, du moteur Duvant.
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Espace Guichaoua. Autrefois mis en scène
Il suffit de pousser la porte de l'espace Guichaoua pour se retrouver propulsé dans le Pouldreuzic d'autrefois, du XXIesiècle au début XXe, le temps d'un battement de cil. Quelques objets du passé confiés par des particuliers aux membres de l'association locale du patrimoine, ont déterminé le début de cette aventure d'un musée, né presque malgré lui.
http://www.letelegramme.fr
Il suffit de pousser la porte de l'espace Guichaoua pour se retrouver propulsé dans le Pouldreuzic d'autrefois, du XXIesiècle au début XXe, le temps d'un battement de cil. Quelques objets du passé confiés par des particuliers aux membres de l'association locale du patrimoine, ont déterminé le début de cette aventure d'un musée, né presque malgré lui.
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Restauration faucheuse PUZENAT
Usine Puzenat.
http://www.reseau-farr.org/film_les_usines_puzenat.html
Bourbon Lancy.
Une petite ville, un gros village, comme on veut, au cœur d’une région de culture et d’élevage.
Un canton arriéré. On est à la fin du XIX ème siècle…
Tout en haut de la voix empierrée , bordée d’arbres, qui traverse la petite ville, le gros village, comme on veut, il y a une échoppe.
Quand on pousse la porte de l’échoppe, on trouve des petits outils, des faux et des faucilles.
On trouve Émile Puzenat, forgeron de son état … Le petit forgeron ne restera pas un petit forgeron très longtemps.
Parce que la révolution industrielle vient d’ouvrir la voie au machinisme agricole.
Et surtout, parce que, au fil de ses nombreuses tournées à la campagne, dans les fermes, le petit forgeron observe, analyse, réfléchit….
RESTAURATION DE LA FAUCHEUSE PUZENAT DE L'ASSOCIATION DU PATRIMOINE DE POULDREUZIC
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Restauration semoir 5 rangs - 1,20 m - type SIMPLEX HUARD CHATEAUBRIANT
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Restauration de différents édifices réalisée par les membres de l'association
Patrimoine. La fontaine de St-Guénolé retrouve un toit
Les bénévoles de l'Association du patrimoine étaient, mardi après-midi, au chevet de la fontaine de Saint-Guénolé, non loin du site de la chapelle du Loc'h, où ils avaient déjà bâti un mémorial. Ils ont maintenant décidé de restaurer le petit édifice qui surplombe la fontaine.
http://www.letelegramme.fr
Les bénévoles de l'Association du patrimoine étaient, mardi après-midi, au chevet de la fontaine de Saint-Guénolé, non loin du site de la chapelle du Loc'h, où ils avaient déjà bâti un mémorial. Ils ont maintenant décidé de restaurer le petit édifice qui surplombe la fontaine.
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Patrimoine. Aux petits soins pour le lavoir de Kerlabian
C'est sur un puits à Kerlabian que les membres de l'association Patrimoine apportent leurs soins chaque mardi après-midi. Clet, Laurent, Henri, Pierre Bolzer et Pierre Colin ont restauré tout un pan du puits qui s'affaissait.
http://www.letelegramme.fr
C'est sur un puits à Kerlabian que les membres de l'association Patrimoine apportent leurs soins chaque mardi après-midi. Clet, Laurent, Henri, Pierre Bolzer et Pierre Colin ont restauré tout un pan du puits qui s'affaissait.
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Four à pain de Créménec
Vestiges de la Chapelle du Loc'h
Four à goémon Penhors
Autrefois, Penhors avait ses goémoniers, et beaucoup se souviennent encore de voir des panaches de fumée s’élever dans le ciel, du côté de la mer.
Le brûlage se faisait toujours par beau temps.
Chaque ménage avait son four creusé dans la palue.
Le four à goémon est une tranchée peu profonde, à hauteur de genoux, large de 60 à 80 centimètres, long de 5 à 7 mètres, de section trapézoïdale.
Le fond est tapissé de grandes pierres plates, posées sur des galets afin de ménager une circulation d’air.
Les parois, également, sont revêtues de pierres appuyées sur des galets. Les espaces existants entre les dalles sont jointoyés avec de l’argile, des séparations verticales sont ensuite pratiquées tous les 50 à 60 centimètres.
Aujourd’hui ces fours ont tous disparu, la plupart du temps emportés par la mer en même temps que la falaise.
Croix de Soconan (Moyen-âge)
Croix Pendreff Pouldreuzic
Four à pain à l'espace Guichaoua
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Restauration botteleuse PRIGENT Frères Pouldreuzic
Après une restauration au Rustol
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Restauration pompe à bras THIRION de 1911 - Sapeurs-Pompiers de Pouldreuzic
Le centre de secours a été fondé en 1933 par Jean Hénaff, le chef d'entreprise local,
avec Alain Le Corre, officier marinier en retraite, comme chef.
Le premier équipement sera une pompe à bras achetée d'occasion.
Elle déployait 8 m de tuyau aspirant et 100 m de tuyau refoulant.
Elle sera remplacée par une motopompe en 1949,
puis une autre plus performante en 1968.
© Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/local/finistere-sud/ouest-cornouaille/plogastelstger/pouldreuzic/centre-de-secours-deploiement-pour-les-80-ans-15-07-2013-2172538.php?utm_source=rss_telegramme&utm_medium=rss&utm_campaign=rss&xtor=RSS-21#ipM8Dp2gS2kDIccD.99
© Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/local/finistere-sud/ouest-cornouaille/plogastelstger/pouldreuzic/centre-de-secours-deploiement-pour-les-80-ans-15-07-2013-2172538.php?utm_source=rss_telegramme&utm_medium=rss&utm_campaign=rss&xtor=RSS-21#ipM8Dp2gS2kDIccD.99
Voici la première pompe à bras, datée de 1911 utilisée en 1933 à Pouldreuzic,
mise en eau pour une démonstration en 1983.
mise en eau pour une démonstration en 1983.
Elle fut utilisée pour la première fois dans la nuit du 27 au 28 avril 1934,
à l'occasion du feu de la scierie Voquer qui mobilisa tous les pompiers de Pouldreuzic pendant 18H,
avec les renforts des sapeurs pompiers de Douarnenez et Quimper.
Moto-pompe MAHEU LABROSSE et la pompe à bras THIRION, en exposition à l'Espace Guichaoua à Pouldreuzic, avant leur restauration.
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Restauration planteuse de pommes de terre PRIGENT Frères POULDREUZIC
Restauration en cours
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Moisson faite en France par des moissonneuses-lieuses françaises - film ina
Commandité par la chambre syndicale des constructeurs de machines agricoles, ce film muet vise à promouvoir le matériel agricole français.
Des cartons explicatifs alternent avec les séquences filmées de démonstrationde fonctionnement de moissonneuses lieuses de marques françaises (Amouroux Frères, Dollé).
Cliquez sur le lien ci-dessous :
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Restauration trieur à grains MAROT
Historique :
Les premiers ateliers de cette usine de trieurs à grains sont construits à partir de 1871 pour Jules Marot, qui avait déposé le brevet d'un trieur à double effet en 1857.
L'entreprise se développe rapidement dans les années 1880, avec l'édification de la conciergerie, le bâtiment des moteurs, un magasin et deux hangars.
Emile et René Marot succèdent à leur père aux environs de 1890.
Emile perfectionne les trieurs en déposant un brevet pour l'ensachage automatique des grains, un trieur à triple effet et une turbine à air permettant le triage des céréales par leur densité.
Une rude concurrence s'établit entre les trieurs Marot et les trieurs Clert-Biscara, fabriqués également à Niort.
Les appareils sont exportés en Europe, en Afrique du nord et en Amérique.
De nombreux bâtiments sont bâtis dans les années 1900 : trois magasins, la fonderie, la menuiserie, le bureau, la ferblanterie.
L'atelier de montage date de 1914 et la fonderie est agrandie à la même époque.
A partir de 1924, Emile Marot dirige seul l'entreprise, et créé une sociétéà responsabilité limitée en 1931.
Les derniers bâtiments, construits dans les années 1930, sont un magasin à bois, un magasin et un laboratoire.
Emile Marot dirige son entreprise jusqu'en 1950, associéà son gendre, Emile Taudière, qui reprend ensuite l'affaire.
Après le décès de ce dernier en 1967, Edmond Brillaud dirige l'usine jusqu'à sa fermeture en 1980.
Par la suite, le site est racheté par la ville de Niort, qui installe dans l'un des bâtiments les bureaux de son service des eaux.
Effectif de 150 à 200 personnes vers 1910.
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Joyeuses Fêtes à tous !
KIDS UNITED - On Ecrit Sur Les Murs (Clip Officiel)
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Restauration métier à tisser
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Restauration couvoir à oeufs
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BLOAVEZ-MAD 2016
http://trouver-en-bretagne.com/
KIDS UNITED pour l'UNICEF - "Imagine" (Lyrics en français)
Notre terre vue de l'espace
Les écoulements glaciaires en Colombie-Britannique
L'astronaute Reid Wiseman est l'un des chanceux astronautes de la NASA vivant actuellement sur l'ISS, une station spatiale placée en orbite terrestre basse pilotée par la NASA. Chaque jour, il nous fait découvrir ses photos inédites de la Terre vue de l'espace.
http://www.linternaute.com
L'astronaute Reid Wiseman est l'un des chanceux astronautes de la NASA vivant actuellement sur l'ISS, une station spatiale placée en orbite terrestre basse pilotée par la NASA. Chaque jour, il nous fait découvrir ses photos inédites de la Terre vue de l'espace.
http://www.linternaute.com
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Restauration broyeur à pommes SAVARY & RIVIERE Quimperlé
Engins agricoles. Le génie de Savary
Entre les deux guerres, l'usine Savary-Rivière se spécialise de plus en plus dans les pressoirs à pommes où elle occupe la première place, quand la charrue est plus développée à Redon ou Châteaubriant, situés au centre de régions de labours.
La deuxième raison du succès tient à la qualitté et à l'ingéniosité des appareils; par exemple le pressoir à cidre à mouvement vertical, mis au point par Savary lui-même, et qui donne 15 % de jus supplémentaire, ou la multiplication de tambours en fer forgé, plus légers, plus résistants, excluant fonte et bois, ou encore les protections qui équipent les engrenages.
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Restauration soufflet de l'étameur (soudure à l'étain)
Etait utilisé pour le rétamage (soudure à l'étain) de la vaisselle et des couverts en fer-blanc.
Le matériel de ces ferblantiers était sommaire et grossier, réduit à une forge rudimentaire où le soufflet, si elle en était parfoit munie, devenait un luxe.
Etain, charbon de bois et ferraille complétaient l'attirail.
http://www.editionsouestfrance.eu/livre-bible-il-y-a-un-siecle-france-des-metiers-oublies.html
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Restauration boucheuse "La Girondine"
Matériel d'emboutissage Etablissements LARRIEU, LA GIRONDINE SARL, 97-99 rue Lagrange, Bordeaux.
En 1925, M. Larrieu, qui a fondé son premier atelier à Bordeaux en 1911, fait bâtir une usine de construction de matériel d'embouteillage, entièrement automatique, pour tout liquide non gazeux.
Le matériel construit par la S.A.R.L. Larrieu-Bedin devient mondialement connu sous la marque " La Girondine ".
En 1949, construction de nouveaux ateliers et de bureaux agrandis en 1961.
Les machines, conçues et fabriquées à l'usine, sont particulièrement élaborées.
Elles sont exportées dans le monde entier.
Leur mise en route ainsi que leur maintenance sont assurées par la société.
Une seconde unité est créée en Espagne avec l'installation d'une usine ultra moderne.
En 1949, usinage de groupes automatiques : du lavage à l'étiquetage, pour 1 000 à 2 500 bouteilles à l'heure.
En 1961, il y a un parc de 200 machines outils, les plus anciennes possédaient un moteur à fuel.
En 1991, la cadence du matériel proposé atteint 40 000 unités à l'heure.
En 1957 : 300 ouvriers, qui bénéficient d'aides sociale et sanitaire ainsi que de logements.
En 1991 : 30 employés, 30 temporaires et des sous traitants.
Existence d'un fonds d'archives privées.
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Restauration coupe-betteraves double "LE GLOUTON"
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Restauration perceuse sur colonne "PRIGENT"
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Restauration pressoir à pommes "TANVEZ"
Guingamp. Plus d'un siècle d'histoire aux usines Tanvez
En un peu plus d'un siècle d'existence, les usines Tanvez auront véritablement marqué l'histoire industrielle guingampaise. Entre 1856 et 1966, le site, qui a compté jusqu'à 1.500 salariés, a fabriqué des outils agricoles. Aujourd'hui, il ne reste plus que des traces de cette activité et la mémoire des anciens.
http://www.letelegramme.fr
En un peu plus d'un siècle d'existence, les usines Tanvez auront véritablement marqué l'histoire industrielle guingampaise. Entre 1856 et 1966, le site, qui a compté jusqu'à 1.500 salariés, a fabriqué des outils agricoles. Aujourd'hui, il ne reste plus que des traces de cette activité et la mémoire des anciens.
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